Le 13 novembre à 7h, Oskar Freysinger, François Martin, Romain Bessonet et Vincent Pavan étaient réunis autour de Nicolas Stoquer pour une Matinale explosive sur Géopolitique Profonde.
Quatre invités, quatre expertises complémentaires : géopolitique, renseignement, stratégie militaire, sciences et analyse critique.
Un point commun : tous constatent que l’Occident, acculé, semble prêt à tout pour éviter l’effondrement de sa stratégie ukrainienne — y compris à créer le choc artificiel qui pourrait déclencher une guerre mondiale.
Au centre des inquiétudes : une opération sous faux drapeau que la Russie redoute depuis des mois et qui, selon plusieurs sources, serait désormais en préparation.
Une opération sous faux drapeau : la dernière carte des Atlantistes
Les services russes alertent depuis longtemps sur un scénario d’une gravité sans précédent : un détournement manipulé d’un avion russe Mig-31 équipé d’un missile hypersonique Kinjal, suivi d’une frappe sur une base de l’OTAN en Roumanie.
Le plan serait ensuite maquillé en agression russe, provoquant une “riposte collective légitime”.
Ce scénario n’a rien de fantaisiste.
Il reprend les méthodes éprouvées des opérations clandestines anglo-saxonnes : créer la menace, fabriquer le coupable, imposer la réponse.
La logique est limpide : l’armée ukrainienne est au bord de l’effondrement, les pertes sont colossales, les populations occidentales décrochent, les soutiens militaires sont à bout.
Dans cette situation, pour Washington et Londres, une provocation spectaculaire est le seul moyen de relancer une guerre perdue d’avance.
Les médias mainstream, eux, préparent déjà le terrain :
Moscou comme agresseur, OTAN comme victime.
La séquence est connue.
L’Occident acculé : l’escalade comme stratégie
La progression russe sur l’ensemble du front, la désorganisation des forces otano-ukrainiennes et la lassitude européenne placent le bloc occidental dans une impasse.
Reconnaître la défaite serait un aveu politique insupportable.
Il faut donc un choc émotionnel, un “Pearl Harbor européen”, pour briser le tabou d’une intervention directe.
D’où la tentation d’une attaque simulée : une base de l’OTAN frappée, une signature pseudo-russe, l’article 5 activé mécaniquement, l’escalade justifiée comme un acte de “défense collective”.
Il s’agirait moins d’une stratégie militaire que d’une stratégie psychologique, destinée à forcer la main aux gouvernements européens.
Paris, Berlin et Varsovie suivent déjà la ligne sans oser l’avouer.
La peur d’un effondrement symbolique — plus encore que militaire — les pousse vers des décisions irrationnelles.
Le piège mondial : provoquer Moscou pour déclencher l’inévitable
Si une telle provocation avait lieu, la Russie n’aurait que deux options :
se laisser accuser ou réagir.
Et toute réaction deviendrait immédiatement un prétexte à l’entrée en guerre de l’OTAN.
L’enjeu dépasse désormais l’Ukraine.
Il est civilisationnel.
Une fausse attaque sur le territoire d’un pays membre de l’Alliance ferait instantanément basculer l’Europe dans un engrenage incontrôlable : activation de l’article 5, intervention aérienne ou terrestre, riposte russe, confrontation nucléaire probable.
Il ne s’agit plus de géopolitique.
Il s’agit de la survie de l’humanité.
Les élites globalistes jouent leur survie, pas la paix
Pour les invités de la Matinale, l’erreur serait de croire que cette crise résulte d’un accident.
Au contraire, les élites globalistes jouent leur dernière carte.
Leur survie politique, financière et institutionnelle dépend du chaos :
– chaos militaire,
– chaos énergétique,
– chaos économique,
– chaos narratif.
Les “démocraties libérales” ont transformé l’Ukraine en champ de bataille sacrificiel pour préserver leur hégémonie.
Face à leur faillite stratégique, elles tentent aujourd’hui d’entraîner le monde dans une spirale irréversible.
Pendant que Washington et Londres orchestrent la mise en scène,
les nations souveraines — Russie, BRICS, Asie — refusent de se laisser piéger.
La dernière bataille : vérité, souveraineté, multipolarité
Ce qui se joue n’est plus un simple conflit régional.
C’est l’affrontement entre : un empire occidental en décomposition, et un bloc multipolaire décidé à maintenir la paix par l’équilibre et la vérité.
La seule arme des peuples aujourd’hui est la lucidité :
refuser les narratifs préécrits, dénoncer les manipulations, s’opposer aux engrenages automatiques qui conduisent au conflit mondial.
Comme le résume l’un des invités :
“Si cette opération se produit, le monde bascule.
Si elle est déjouée, l’Occident s’effondre.”
Le choix n’est plus militaire.
Il est moral, politique et civilisationnel.
Conclusion
La Matinale de Géopolitique Profonde révèle un scénario terrifiant mais cohérent :
un Occident dos au mur, prêt à provoquer la Russie pour éviter sa propre défaite, quitte à sacrifier la paix mondiale.
La question qui se pose désormais n’est pas de savoir si Moscou frappera l’OTAN —
mais si l’OTAN fabriquera l’attaque qu’elle attend pour justifier l’escalade.
Dans cette atmosphère de fin de cycle, un seul rempart subsiste :
la souveraineté des nations qui refusent la manipulation et défendent encore la multipolarité comme alternative au chaos.
Le destin de l’Europe — et peut-être du monde — se joue sur cette lucidité.
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Bon NOËL à tous !
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